oise-60
Les Citées
Les citées
Elles font peur, la masse politico / médiatique quasiment unanimement font état de la déchéance profonde des citées, lieux de drogue, violence, agression.
Si tout le monde est d’accord pour dire que la politique générale sur ce sujet est un échec.
Par contre, là ou les opinions divergent, c’est sur comment régler ces problèmes.
Mais commençons à nous intéresser au contexte actuel.
Le Pourquoi
Étant donné que la vérité sort de la bouche des enfants, regardons un peu comment vit un enfant des citées.
Bien que récemment, des « idées nouvelles » prétendent selon une hypothèse certaine (c’est contradictoire, mais c’est fait exprès) que le facteur génétique est un élément clef de la destiné de chaque humain, ce genre de théorie hypothétique proche de l’eugénisme sera mise de coté.
Il est prouvé que le rat a un comportement social qui comporte quelques similitudes avec l’homme et il est également prouvé que le facteur de stress chez des rats vivant dans un endroit similaire à des HLM est plus important. Ces rats ont naturellement un comportement plus violent et plus agressif découlant de ce facteur stress.
Quelle est donc la dose de ratio victime/coupable dans cette configuration ? Difficile à savoir, mais le fait est là.
Le nouveau né donc dans un environnement à très forte concentration humaine va donc être confronté à ce même facteur stress du au bruit persistant à la fois en dehors et dans l’appartement. Même si ce n’est pas un élément fondamental, c’est tout de même un élément à prendre en compte dans le déroulement linéaire d’une vie en citée.
Lorsque l’enfant grandit, il se cherche des repères. Malheureusement et bien souvent, les parents vivant en citée HLM ont des problèmes financiers.
L’enfant se heurte ainsi au paradis télévisuel ou l’ont glorifie la réussite sociale, ou l’ont voit des personnalités politiques de haut vol déclarer en substance qu’il y a du travail pour les chômeurs… ce qui sous entend avec une pointe d’ironie que ses parents, ciment de leur éducation sont des faignants ratés.
Puis l’enfant va regarder un peu dehors. Étant donné que les travailleurs qui vivent en citée et qui réussissent ne restent jamais longtemps dans une citée dortoir, l’enfant ne voit donc que des pauvres… et quelques individus riches et qui restent.
Qui sont ses individus riches qui restent ? Des honnêtes travailleurs ? Oui certes, il existent certainement des honnêtes gens qui « aiment » la citée… mais tout de même, il y en a peu.
Par contre des gens fortunés, il y en a et sont parfois un peu malhonnête… le caïd de la cité, de l’oseille, il en a… contrairement à ses parents.
Les repères donc dans les citées sont très difficiles pour un enfant ou un jeune. Concrètement, il voit des pauvres, soit chômeurs soit travailleurs pauvres donc… Et une catégorie plus aisée ou bien souvent des revenus illégaux sont la source de ce train de vie supérieure aux autres.
Un autre paramètre complique l’éducation pour les parents… la proximité. Ainsi, l’enfant en grandissant voit ses amis dehors, juste en bas de son appartement faire la foire le soir. L’humain étant un animal sociable, il est tout naturel de mesurer l’insistance de l’enfant pour aller rejoindre ses amis en bas.
Alors que dans un village ou zone pavillonnaire, l’étalement des habitations atténue cette tentation, elle s’applique pleinement dans ce cas présent ce qui créé une difficulté supplémentaire pour les parents à garder leurs bambins sagement à la maison pour qu’ils fassent leur devoir et qu’ils aillent se coucher suffisamment tôt pour être en forme le lendemain matin.
Comme si tout cela n’était pas assez compliqué, il faut rajouter (encore) le paramètre médiatique qui glorifie à outrance toute forme de réussite sociale. Ainsi, il est plus « classe » de s’habiller en Nike qu’en Tati. Ce télescopage de manque de repère et de profusion médiatique abouti à un effet de mode un peu particulier.
Ainsi, le rap, qui se dit contre le système épouse ce même système en adoptant le style de mode onéreux bien entendu et l’on voit des gens qui ont pour un an de SMIC en fringues chanter la misère et la pauvreté… Coluche est bien loin.
Des gens qui se revendiquent comme « Bounty Killer » porter des vêtements parfois conçus par des enfants chinois. Un paradoxe somme toute très amusant à défaut d’être sordide à bien y réfléchir.
Bien dommage qu’aucun rappeur connu ne prenne
Pour encore compliquer les choses, il y a la police où l’on envoie des jeunes policiers sans réelle expérience dans des quartiers défavorisés en les plaçant dans un contexte de « guerre ».
Ainsi, les contrôles à répétition sont légions, parfois des policiers dérapent ce qui a pour conséquence de donner de l’eau au moulin de la violence. De surcroît lorsqu’une personne vivant en citée sans histoire, sans casier judiciaire est victime d’un contrôle musclé de la police, il sera beaucoup moins à même de faire une quelconque leçon de morale à des jeunes qui caillassent des voitures de police.
Bien que l’action anti police soit largement condamnable, le fait d’envoyer des policiers inexpérimentés dans des quartiers difficiles ainsi que la politique du contrôle au faciès systématique (que tout le monde sait mais personne ne dit rien), ainsi qu’une certaine lâcheté dans le contrôle de brigade largement suspecté de jouer aux « cowboys » sont également des facteurs entraînant une tension aboutissant trop souvent à de la violence qui va de mal en pis depuis ces dernières années !
Ce qu’on a fait… les conséquences
Alors que devant la demande de
Même si il est maintenant largement admis que la conception même de ces logements est fondamentalement mauvaise bien que moins pire que les taudis et bidonvilles qui existaient jadis, il faut admettre que
Des actions, il y en a eu, et de l’argent dépensé également. Mais il n’y a eu jusqu’à présent aucun suivit dans les différentes actions à mener. Chaque gouvernement sacrifiant joyeusement le travail de son prédécesseur, voir même au sein d’un même gouvernement les alternances répété n’ont jamais aboutis à une réelle étude ni une action cohérente pour s’occuper des citées de manière intelligente.
Ainsi, tous les gouvernements et partis politiques au pouvoir se renvoient joyeusement la balle sur ce dossier qu’il est plus qu’urgent de traiter.
Les « villes nouvelles » créées n’ont fait que reprendre les structures architecturale des années 60 en continuant le bétonnage de tours et de barres. Le résultat est que dans des villes telles qu’Evry, il existe des problèmes similaire (au Pyramide par exemple)
Cette idée a donc été un échec.
Une autre idée fut la police de proximité. Bien que pouvant être l’objet de critique, elle remplissait plusieurs fonctions essentielles telles que :
- Rétablir un lien social entre la population et la police
- Connaître la citée, notamment les dealers ou autres perturbateurs (très utile lors d’enquêtes et d’arrestation)
- Etre proche du citoyen, rapporter de manière plus efficace les plaintes diverses et variées.
Ses fonctions bien qu’essentielles pour aider la police nationale dans ses investigations ne suffirent pas et la police de proximité fut très brutalement arrêtée.
Même si d’un point de vue comptable de délinquance, cela fut efficace (en effet, des plaintes y étaient déposées et nombre de ces plaignants n’allaient pas généralement dans les commissariats des centres villes), cela ne régla en rien le problème de fond de la délinquance et son arrêt eut sans aucun doute un poids assez important dans le déclenchement des émeutes de 2005 et de 2007.
Sa réintroduction sous la même forme (bien que l’on puisse prétendre le contraire) est l’aveu cinglant d’une prise de conscience de sa nécessité. En effet, même si la « peinture » est différente, il s’agit bel et bien du même instrument.
Cependant, les récente escalade de violence (tirs à balles réelles sur des fonctionnaires de police) risque de rendre très difficile sa réintroduction.
Par ailleurs, il serait très utile d’introduire dans les véhicules de police des caméras à l’instar des États-Unis qui permet à la fois à la police une meilleure formation aux réalités quotidienne de patrouille et également un garant
Les subventions aux associations
Ici encore on nage dans l’incertitude car au gré du vent et de la couleur politique, des subventions sont ou non attribuées à telles ou telles associations.
Il n’y a donc aucun suivit de fond sur la durée et il est donc impossible pour une association de garantir un réel suivit dans sa démarche car elle ne peut être que consciente de l’incertitude de son avenir et de ses moyens.
En effet, un changement politique fait que trop bien souvent en sorte que pour « contrer » la politique de son prédécesseur, on coupe ou réattribue les subventions de telle ou telle association.
Il s’agit donc d’un gâchis d’argent du à la préférence politicienne plutôt qu’aux réels besoins des quartiers difficile.
Le traitement médiatique
Que ce soit politiquement ou médiatiquement, nous assistons à un concert de diabolisation des quartiers difficiles, à en oublier que la très grande majorité des habitants sont des gens tout à fait honnêtes.
Dans une cité de 2000 personne, nous avons… 400 « jeunes »… parmi eux 2/3 fouteurs de merde et 15/20 qui suivent.
On en oublie trop souvent le reste qui pourtant représente la grande majorité des habitants.
Pourtant, lorsque l’on vient d’une citée, on est trop souvent stigmatisé (genre « Ah tu viens de là, c’est chaud ! ») et cela représente encore un handicap de plus dans l’insertion sociale et professionnelle.
Présence institutionnelle
Lorsque les citées furent érigées en masse, il n’y avait rien… pas d’école, pas de route ni d’aménagement pour la plupart.
Les classements en ZEP furent un plus non négligeable.
Cependant, même si le minimum vital à été ensuite construit, il n’y a jamais eu de grand projet pour repenser le système de logement social et son cadre de vie.
De fait, avec les multiples politiques contradictoires, les citées, les banlieues ont été progressivement laissé à l’abandon. De fait, il est tout à fait naturel de voir émerger des nouvelles formes d’autorités, notamment une progression religieuse dans une population qui pourtant à la base n’est ni plus ni moins religieuse que dans le reste de
Il est en fait même étonnant à la vue de la situation actuelle de ne pas voir plus d’émeute…
Les émeutes
Les émeutes qui secouèrent
Le déroulement fut le suivant :
Un contrôle d’identité qui tournent mal, des jeunes revenants d’un match de foot n’ayant pas envie de passer trois heures en garde à vue se sauvent et 2 d’entres eux meurent, un autre grièvement blessé.
Dans une situation très tendue, le ministre de l’intérieur et d’état présume de leur culpabilité ce qui s’est avéré ensuite faux après enquête.
A la vue des morts et de cette injuste présomption de culpabilité, avant d’attendre la fin de l’enquête, tout explose.
Même si les actes délictueux sont intolérables, il est absolument nécessaire de comprendre pourquoi ça a explosé.
Le terreau de la violence est là, et cela fut amplifié par une erreur grossière de communication du ministre de l’intérieur de l’époque.
Aujourd’hui, nous avons assisté à une dangereuse escalade ou les émeutiers utilisent maintenant des armes à feu contre les force de l’ordre. Cette dérive met en danger de mort les fonctionnaires de police ce qui est parfaitement intolérable, mais il faut régler le problème en regardant l’ensemble des paramètres de ce problème pour le résoudre.
Les solutions envisageables
En nommant Fadela Amara, le président a fait preuve d’ouverture et de pertinence à la base. En effet, une personne connaissant le terrain est beaucoup plus apte à comprendre le phénomène, une compréhension nécessaire pour aller dans le bon sens.
Cependant, il semble dès à présent que le « plan banlieue » annoncé en grande pompe sous moult projecteurs ne soit à l’instar du Grenelle de l’environnement ne reste qu’un effet d’annonce. Gageons que cette impression soit fausse…
Il y a pourtant en France des HLM sous forme de maison individuelle.
Un vrai plan national pourrait par exemple être une globalisation de cette forme de logement HLM.
En effet, un vrai scandale fait état de personnes logées en hôtel dans des conditions déplorables de vie et pire que tout, à des prix exorbitants… payé par nos impôts !
Si on a pu construire il y a 50 ans des tours en séries, avec la technologie et méthode de construction d’aujourd’hui, il serait tout de même envisageable de construire autre chose de plus vivable et de plus aéré.
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le retour du TCE
Mini traité européen… Promesse tenue… ou presque Une des première chose faites par notre gouvernement fut de valider ce mini traité européen destiné à refaire avancer l’Europe. Après tout, nous ne fûmes pas pris en traite… Il y avait le choix du vote entre un candidat qui ne voulait pas de passage en force et un autre qui le désirait. Quel mini traité ? Ce terme fut très habilement choisi. En effet, le terme « mini » minimise la notion de traité et tout le débat de fond qui en a découlé. On a donc eu l’illusion que le TCE qu’on a refusé par référendum était bel et bien aux oubliettes. Or ce traité, qu’est ce qu’il y a de moins… la notion de constitution (qui était certes un des points fondamentaux du débat) et l’hymne européen. Tout le reste y est bel et bien ! D’ailleurs, Valery Giscard d’Estaing l’a bel et bien affirmé… tout y est. Qui dénonce ? Les partis extrêmes pour la plupart. On n’a pas vu une Ségolène Royale s’offusquer outre mesure… Aurait elle en fin de compte eu la même idée que notre président en fin de compte ? On ne le saura jamais. L’UMP a applaudit des deux mains, le PS aussi mais sous la table, le MoDem… Rien. Pourtant il s’agit manifestement d’un déni de référendum et d’expression populaire, de choix du peuple de
Alors que les partis politiques du milieu (PS/MoDem/UMP) dénoncent les dérives supposées du déni de démocratie des partis extrémistes, ils n’hésitent pas eux même à pratiquer eux même ce déni évident. Assez étonnant de voir tous les biens pensants s’offusquer de l’extrémisme de certains partis et d’épouser des méthodes plus que limites quant au respect fondamental de la république et du choix de son peuple ! Petit rappel
Si en Espagne aucun débat de fond n’a été d’ordre national, en France il s’est passé quelque chose d’assez inattendue… Tout était pourtant bien huilé, une masse médiatique profondément pro TCE, les hommes du milieu pro TCE, les extrémistes anti TCE. Tout était bien ficelé pour pervertir le débat qui s’imposait. Ainsi, pendant la campagne du traité, TOUS les journaux (sauf Marianne qui resta neutre en instaurant un réel échange d’idée), de Charlie Hebdo à l’express ou le Figaro prirent sans aucun complexe une position en faveur du oui. Il en fut de même pour les JT, où les journalistes firent de même. Le débat et une nouvelle donne… Internet Si les débats télévisuels furent de qualité somme toute médiocres, Internet bien utilisé permet deux choses : - Avoir accès à l’information - Avoir la possibilité d’ouvrir un réel débat L’information que l’on peut avoir est géniale. Ainsi le TCE put être en ligne bien avant l’envoie en masse chez les particulier. Il est même plus que probable que cet envoie fut poussé par Internet ! En effet, pour Maastricht, je n’ai aucun souvenir d’une brochure complète envoyé chez les particuliers. Ainsi, un réel échange d’idée a pu naître sur Internet servant à un débat d’idée constructif qui a fait une sévère concurrence aux médias traditionnels. Ainsi, le troublion « Etienne Chouard » a posé un réel débat d’idée ainsi qu’une analyse aussi acerbe que pertinente sur le TCE. Ainsi pour la première fois de l’histoire moderne, les médias traditionnels et les politiques se sont heurtés à une nouvelle technologie qui a permit un débat de fond sur Internet. La conclusion La volonté populaire fut de rejeter le traité européen.
Nous pouvons donc nous demander à quel point le choix de notre peuple est respecté dans ce domaine puisque le même traité à deux lignes prêt a été proposé et passé en force. Que l’on soit d’accord ou pas avec ce traité, l’art et la manière du déni de la démocratie est ici totale, tant par la fourberie mensongère de l’appellation mini traité que par la manière d’invalider un référendum qui devrait pourtant faire office à la fois de souveraineté nationale et d’une profonde remise en cause du système européen en place. L’ironie est que le TCE fut rejeté par le pays ou un des grands contributeurs en la personne de VGE…. Vient de ce même pays. Pour porter plainte contre ce passage en force de ce déni de souveraineté Luc
Edit: le traité aurait été envoyé, mais aucun débat participatif citoyen comme nous l'avons pu le vivre
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Pornographie... Amour....
La pornographie, on ferme les yeux, on interdit au -18 ans, on fustige mais aucune critique constructive en la matière.
Les films X de superproduction font des très grosses recettes, les stars glorifiées représentent le summum de la puissance sexuelle.
Beau décors, filles bonnes et faciles, garçons montés comme des étalons montrant leur surpuissance à l’écran, voilà bien l’idéal du sexe que l’on nous représente sans tabou ni restriction.
Après tout, ceux qui critiquent ne sont que des jaloux frustrés.
Ainsi, nombre de jeune adolescents et adultes bravent parfois (souvent même) l’interdit du fameux -18 ans et s’abreuvent de films X avant leur première expériences sexuelles.
Regardons cela de plus prêt !
Fantasmes et Interdits
Dans un monde ou la société est beaucoup moins permissive sur la pornographie que la violence, nous voyons un paradoxe assez étrange ou un film hyper violent avec meurtres et assassinats à la clef est plus acceptable qu’un film ou l’on voit la fornication de deux êtres humains.
Ce degré d’acceptabilité du à nos us et coutumes ou le sexe a toujours été le plus grand des tabous. Ainsi, nous sommes révoltés lorsque nous voyons des enfants soldats mais nous fermons les yeux quand nos chers bambins regardent des films ou la violence et le meurtre coulent à souhait et le CSA valide joyeusement cet état de fait.
Cette « clarification » d’age de
Ainsi, le plaisir de braver l’interdit prédomine bien souvent le fait de regarder un film X ce qui réduit le choix du visionnage bien souvent à des « classiques » du X, des films hautement commerciaux.
Bien évidemment, l’éducation sexuelle brille par sa quasi inexistence tant à l’éducation nationale que dans nos us et coutumes même si l’apparition du SIDA a donné comme seule point positif d’en parler un petit peu… parfois… et seulement l’aspect protection contre les maladies.
Dans un monde merveilleux
Ainsi, beaucoup de jeunes voient pour la première fois avant de connaître la vie et le sexe une norme de verge allant de 20 à
Ainsi, la norme du pornographique est un petit clin d’œil de la demoiselle suffit, et encore, même pas besoin, elles aiment toute ça, et elles adorent de toute manière la sodomie de manière violente et les éjaculations faciales.
Les hommes n’ont jamais de panne
Tout est merveilleux, impressionnant et le must est donc là…
Conséquence pour nos d’jeun’s
La taille moyenne d’une verge étant comprise entre 13 et
La frustration étant une cause d’impuissance non négligeable, les dégâts psychologiques générales peuvent être énorme. Il serait très intéressant d’avoir une étude sur le sujet.
Des cas de viols ont été avérés du fait de la non connaissance des signaux des femmes ou jeunes femmes. Ainsi, des jeunes garçons ont forcé des jeunes filles qui disaient non… mais étant donné la non connaissance des signaux de base du jeune homme, il n’a pas pris conscience de son acte d’une gravité extrême. Si une fille ou femme dit non… c’est bel et bien non. Il serait très intéressant lorsqu’une tragédie comme celle là arrive de tracer le parcours cinématographique du violeur ! Bien que le porno ne peut pas être mise en cause aux vus des éléments, ces éléments dans ce genre d’affaire ne sont malheureusement pas mis à jour.
Bien des « techniques » d’amour sont dans les films X jeté dans le placard, des techniques que l’on peut consulté pourtant dans des livres millénaires comme le Kamasutra. Ces techniques sont pourtant fondamentales pour un plaisir mutuel lors d’ébats sexuels.
Non, toutes les femmes n’aiment pas les éjaculations faciales ou la sodomie… cela dépend des femmes…
Quatre vingt quinze pourcent
Après ce voyage idyllique au pays du sexe avec des divas de l’amour, des dieux du sexe, passons à une réalité un peu moins réjouissante.
Selon l’interview d’une actrice de film X bien connue, elle n’a pendant sa carrière réellement jouit qu’une seule fois pour grosso modo 500 partenaires différents et un grand nombre de film donc d’heure de tournage.
Donc le taux de réussite pour les étalons, les dieux du sexe à faire réellement jouir les femmes sont de 1/500ème concernant les partenaires, ce qui ramène à un taux de réussite de 0.2%.
Georges Brassens, grand connaisseurs de femme attribuait le taux de réussite du français moyen de 5% (dans sa chanson 95% des femmes s’emmerdent en baisant)
Donc le français moyen a un taux de réussite = à 5/0.2 = 25 fois supérieur à celui d’un acteur de films X tournant des scènes (car j’espère qu’il est un peu plus performant à la maison)
Première conclusion
Si bien des femmes simulent, là ou il faut voir comment une femme simuler, c’est bel et bien dans un film X commercial.
Il est plus facile avec ces données de comprendre pourquoi les femmes qui jouent dans le X sont mieux payées que les hommes
La « performance » sexuelle ne garanti en rien une réussite, même si elle est indispensable.
Les raisons
Pour expliquer une si médiocre performance de la part de nos hardeurs, il faut déjà savoir une chose fondamentale… pour réussir à faire monter une demoiselle ou madame, il faut être d’abord à son écoute…. Et de son corps.
Hors lors d’un tournage, il y a non seulement plein de caméra filmant notre anus en gros plan, mais également les ordres du tourneurs qui lui est bien loin d’être à l’écoute de la gente féminine. C’est un premier handicap.
Un vagin a une profondeur moyenne de
Pour aboutir a des performances de durer, les hommes prennent bien souvent des additifs chimiques ce qui accroît la duré d’action, mais également diminue ou altère la perception et l’écoute de sa partenaire élément fondamentale d’une bonne partie de jambe en l’air. Troisième handicap.
Passer ses journées à faire l’amour doit finir par être ennuyant, ce qui constitue le quatrième handicap.
Conclusion
Il peut en fin de compte apparaître que les films X soit en fait un peu donner de la confiture à des porcs mais les exemples choisis ont été particulier, s’agissant de film à vocation commerciale et donc devant répondre à certains critère esthétiques.
En effet, la grande majorité des clients de films X est masculine et donc doit répondre à des critère bien spécifique, que sont le plaisir masculin, l’esthétique féminin (l’homosexualité est la bienvenue si et seulement si il est question d’homosexualité féminine), sa simulation fantasmagorique est faite pour la masturbation et donc des plaisirs solitaires.
Les acteurs et actrices pornographiques ne peuvent donc pas vraiment être jugés sur leur performance propre. Ils peuvent ainsi être de bons coups mais pas dans les films. Il ne s’agit que de petits plaisirs mais sous des normes cinématographiques standardisées donc bridées.
Cependant, il existe des films X ou le but est le plaisir partagé ou même parfois, un essais de Brigitte Lahaye en temps que réalisatrice de film avec un aspect éducatif.
Ouvrir enfin le carcan qui nous entoure autour du tabou sexuel pour en parler plus librement et éduquer plus librement les gens sera la clef d’une véritable politique vers un épanouissement sexuel, tant chez l’homme que chez la femme.
La réelle solution serait de briser enfin tous nos tabous et de pouvoir parler de cela à des adolescents qui se posent des questions.
Il existe tant d’homme qui se « sentent » impuissants.
Tant de femme qui n’ont jamais connu la jouissance (NB pour les femmes, demandez vous si vous avez réellement jouit… un instant de doute signifie définitivement non)
Cette sensation de se sentir impuissant chez l’homme créé bien souvent la réelle impuissance. La frustration féminine se sent chez l’homme.
L’amour ou la baise, c’est le partage, c’est le don, c’est donner du plaisir… parler sentir et écouter est la clef de la réussite. Oublier ce qu’on est et se concentrer sur comment donner un maximum de plaisir à son ou sa partenaire… c’est si simple… et tellement efficace…
Vive la libération sexuelle… Sans entrave ni tabou !
Luc
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Hausse du pétrole et des denrées alimentaire, une nouvelle donne mondiale
La mondialisation est là, nous sommes en plein dedans. Toutes les hausses presque délirantes vont de concert avec une hausse de prix généralisée.
Pourquoi ces hausses ?
Nous vivons dans un monde libéral, mais tellement libéral que les « règles » sont bannies et proscrites.
Ayant tout de même vu quelques hommes politiques relativement importants dénoncer la spéculation sur ces denrées, les dérives spéculatives sont tout de même vues en partie du moins.
Concernant les causes.
En concert, les médias et politiques dénoncent une surproduction de bio éthanol entraînant une pénurie de denrées alimentaires.
Balivernes !
En ce jour, il n’y a pas de pénuries ! Il n’y a qu’une baisse des stocks ! Cette baisse des stocks est due à deux sécheresses en Australie et dans un autre pays (l’Ukraine je crois)
La pénurie, c’est quand les stocks sont épuisés et que l’offre est inférieure à la demande quotidienne !
Par contre, comment ne pas faire de relation entre la crise des subprimes et la hausse soudaine des denrées alimentaires ?
Explication simple :
La crise des subprimes entraîne une fuite des capitaux (car on ne spécule pas sur une valeur qui baisse).
On cherche une valeur « sûre » qui ne risque pas de descendre.
On voit une baisse du stock alimentaire en sachant que la demande sera toujours plus ou moins constante.
Des capitaux libérés (donc de l’argent à investir).
Haro sur les denrées alimentaires et explosion des cours !
Il va sans dire qu’avec ce transfert de capitaux de l’immobilier américain aux denrées alimentaire fut une opération extrêmement profitable !
Les solutions proposées :
La réponse du FMI concernant la spéculation boursière sur le blé et denrées alimentaires est tout bonnement la pire des hypocrisies qu’ils soient, l’ONU et le FMI demande aux états « riches » de donner de l’argent pour les pays pauvres !
Le FMI qui est au moins coresponsable de la situation actuelle en laissant partir en dérive le système comme on le voit demande donc à nous contribuable de remettre de l’argent sur la table en plus de la hausse de nos denrées alimentaire (qui nous coûte déjà cher en soit puisque la répercussion se fait déjà sentir dans nos portes monnaies) nous attribue donc une double peine, à savoir payer la hausse de ses denrées pour nous… et pour les autres pays !
Pire, en participant à cela, le FMI « donne » plus d’argent à la parti « acheteur » et donc cela contribuera directement à encore remonter les cours.
L’équation du libre échange est simple, plus il y a d’acheteurs et plus les acheteurs ont de l’argent à mettre sur la table et plus le cours de la matière achetée prend de la valeur !
Les politiques, le FMI et la manne médiatique bottent donc en touche et aucune solution viable à terme n’est proposée, que ce soit pour le pétrole ou pour les denrées alimentaires.
L’avenir :
Les bulles spéculatives n’investiront QUE sur des valeurs à la hausse. Quand le prix des denrées alimentaires et du pétrole aura atteint une valeur limite, alors la bulle spéculative ira naturellement chercher ailleurs entraînant une dégringolade catastrophique pour ces cours.
Cependant… verra t’on le prix de ces denrées baisser pour les consommateurs que nous sommes ? En plusieurs années de baisse du cours du blé, du lait, aucune répercussion s’est fait ressentir dans nos magasins….
Les vraies conséquences :
Les bulles spéculatives ne sont en fait qu’une taxe qui touche à la fois les entreprises victimes de ces vagues de hausse et de baisse et nous même, c'est-à-dire citoyen et consommateurs finaux !
En effet, de par leur puissance économique énorme, ils sont capables d’influencer énormément les cours mondiaux et plus ils font monter un cours de manière artificielle, plus nous devons payer, mettre la main à la poche et ainsi subventionner directement ces bulles spéculatives !
Les conséquences humaines ne sont plus à expliciter. Une réelle catastrophe humaine ou des gens ne pouvant plus se payer de la nourriture vont tout simplement mourir de faim ou de guerre ou révolte découlant de révoltes… dues à la faim !
Les solutions :
Si le système boursier à la base était une solution très intéressante et profitable (une entreprise en expansion s’introduit en bourse… les gens « parient » sur cette entreprise et amènent donc des capitaux à cette entreprise) nous assistons actuellement à une dérive extrêmement grave de la bourse touchant à la fois entreprise et consommateur finaux que nous sommes.
Il est donc impératif d’établir des règles à savoir :
- Interdiction de spéculer sur des denrées vitales pour les humains (visé en particulier les denrées alimentaires)
- Définition d’un prix maximum/minimum d’un cours (denrées alimentaires/Pétrole)
- Au pays à qui on a sacrifié une culture vivrière pour une culture « rentable » économiquement (en grande partie par le FMI d’ailleurs), leur garantir des denrées à un prix fixe et honorable.
La taxe Taubin est une solution de financement de ces règles à définir. D’autres idées peuvent être trouvées mais en aucun cas continuer à financer de manière honteuse et à terme inefficace ce système qui a de toute évidence atteint ses limites et ne réponds absolument plus aux besoins de capitaux d’entreprises pour lequel il avait été à la base inventer (permettre à une entreprise d’avoir un apport de capitaux).
La conclusion :
A l’heure où le libéralisme à l’extrême s’apparente à une anarchie spéculative et sans garde fou, il est plus que temps de prendre le problème à bras le corps car cette masse spéculative déséquilibre complètement les cours mondiaux et désorganise les entreprises créatrices d’emplois et de réelles richesses.
Par ailleurs, il serait grand temps que
Quand est ce que l’hypocrisie profonde du FMI sur le sujet sera enfin réellement dénoncée ?
On parle d’autisme au gouvernement
Excellente initiative ou
Attendons donc les votes et le projet de loi dans son ensemble pour juger en profondeur.
Cependant, dans la vision de l’autisme, il faut savoir qu’il existe autant de formes d’autismes que d’autistes.
Ainsi les différents degrés d’autisme sont d’une variété très grande et nombre d’autistes passent au travers des mailles du filet et réussissent très bien leur vie.
Ainsi, on suppose même que le grand scientifique et philosophe Albert Einstein fut atteint du syndrome autistique.
Pour les cas d’autisme profond, les places dans des établissements spécialisés sont malheureusement incontournables, mais il faut espérer que ce projet de loi ne « jette » pas tous les enfants dont le syndrome est léger en établissements spécialisés.
En effet, l’autisme est un dysfonctionnement de certaines fonctions humaines (réflexe du regard dans les yeux par exemple).
Hors, ces stimulations permanentes ne peuvent être qu’obtenu qu’en présence d’enfants neurotypiques, autrement dit dans une école normale.
Autrement dit, il faut espérer que ces nouvelles mesures ne déscolarisent pas à outrance des enfants atteints d’autisme (haut niveau ou léger) qui sont en mesure avec une aide appropriée de suivre une scolarité normal dans une école ordinaire.
La reconnaissance de méthodes approuvées à l’étranger est une avancée significative et remettra sans aucun doute
Attendons donc le projet de loi… mais également le financement et le plan de formation des accompagnateurs.
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pour la grande distribution, il semblerait (hypothèse) que les groupes se soit partagés des "zones" dans lesquelles il sont "maitres".
Je vois deux solutions
- Soit on invite les hard discounter allemands (ou les prix sont d'environ 30% moins cher dans bien des domaines)
- Soit l'état s'implique et créer une enseigne de grande distribution pour faire directement concurence aux enseignes traditionnelles. Après tout, nous sommes dans le libre échange et la libre concurence. Si le privé prend des part de marché dans le publique, je ne vois pas pourquoi l'inverse serait impossible!
Un peu d'audace
L'avenir ...
Même sur les spéculateurs vont investirent leurs fonds dans d'autres secteurs (il faudra bien que ça arrive un jour), je ne crois pas les prix en magasin changeront.
Pourquoi faire baisser les prix alors que la pilule est passé au près des consommateurs ?
Les super/hyper marché prendront le relai, et agrandiront leurs marges.
La fin des spéculations sur les valeurs sûr que sont les denrées alimentaire ne fera que stoper temporairement les monter des prix, les faire baisser ?
...
Faut pas rêver.